La police fait une descente dans les magasins de culture du cannabis à travers le Canada après l’arrestation du prince et de la princesse de Pot

Après l’arrestation du prince et de la princesse de Pot, la police effectue une descente dans les magasins Cannabis Culture à travers le Canada. Les franchisés ont refusé d’identifier leurs propriétaires par crainte de poursuites. Les deux sœurs sont le visage de la franchise Cannabis Culture, et les descentes de police dans leurs magasins ont été un blizzard. Malgré l’intensification de l’opération policière, les franchisés et leurs employés continuent de travailler dans leurs magasins.

Le “prince et la princesse du pot” Marc et Jodie Emery ont été arrêtés. Le couple, accusé de faire la promotion de la marijuana, a été arrêté mercredi soir à l’aéroport Pearson de Toronto. La police a saisi de la marijuana, du haschisch, divers extraits de cannabis, des balances numériques et 1 850 $ en devises canadiennes. Malgré l’arrestation du couple royal, les raids ne sont pas liés à l’enquête.

Les accusations portées contre Jodie et Marc Emery découlent d’une répression policière massive. Le couple est accusé de 15 chefs d’accusation de distribution de marijuana, de possession de produits comestibles infusés au cannabis et d’exploitation d’un dispensaire de marijuana. Les arrestations sont le résultat d’une opération policière massive à Toronto appelée Project Gator, qui comprenait 11 mandats de perquisition et l’arrestation de cinq personnes. Les arrestations font suite à une vaste campagne de répression contre les dispensaires de marijuana à Toronto et dans d’autres villes.

Les descentes dans les magasins Cannabis Culture ne sont pas les premières au Canada. Le service de police de Toronto a l’habitude de choisir avec soin le nom des enquêtes majeures. Il épelle régulièrement la marijuana comme “marihuana” et a marqué certains de ses plus grands raids “Project Bread Maker” et “Project Decepticon”. Le service de police de Toronto a même choisi un nom de code pour son enquête majeure basée sur le choix des suspects des personnages de bandes dessinées. Le choix d’une poignée pour une enquête est généralement une décision prise par l’enquêteur principal, mais parfois les sous-fifres sont invités à suggérer quelque chose.

Alors que la Couronne royale a nié à plusieurs reprises avoir autorisé le dispensaire à opérer au Canada, les tristement célèbres prince et princesse de Pot ont été arrêtés et accusés de trafic de drogue à Montréal. Emery a déjà https://www.ministryofcannabis.com/fr/growing-cannabis été incarcéré pour avoir vendu des graines de marijuana et a été condamné à quatre ans de prison fédérale aux États-Unis en 2009. La police a maintenant perquisitionné tous les magasins Cannabis Culture à travers le Canada.

Malgré l’arrestation du prince héritier et de la princesse de Pot, les fabricants canadiens de marijuana auraient entreposé 1,4 milliard de grammes et 2,4 millions de livres de cannabis. Une grande partie de l’herbe saisie est gâtée cannabis anxiété par le temps et ne vaut pas la peine d’être vendue. Selon le site Web de Santé Canada, les trois plus grands fabricants de pots au Canada ont connu des valeurs d’actions qui ont augmenté de plus de 200 % après la légalisation.

Selon la GRC, plus de 65 kilogrammes de marijuana, 2,4 kilogrammes de concentrés de cannabis et plus de 250 000 $ en espèces ont été saisis lors du raid. Malgré la nature très médiatisée du raid, les dispensaires d’Ottawa fonctionnent toujours. Pendant le raid, des membres du personnel d’autres dispensaires ont offert leur soutien aux Wright. Les deux hommes souffrent de maux de dos chroniques et consomment de la marijuana pour contrôler leur anxiété.